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il y a 2 ans
Premier jour
Le même pas feutré et la porte presque aussitôt rouverte. Encore le valet. Son valet. Qui s’incline cérémonieusement, impassible, indéchiffrable.
- Madame vient donc de se raviser ?
Il l’invite à entrer, main ouverte, tendue. Elle avance de quelques pas sur les volutes entrelacées du tapis, s’arrête près du fauteuil de velours rouge, hésite. Il sourit imperturbablement. Les volutes s’entrecroisent et se perdent à l’infini. Rouges. Bleues. Vertes. Être absente le plus possible d’elle-même. De ce qui lui arrive. De ce qu’elle est obligée d’accepter qu’il lui arrive. Il constate.
- Il faut bien reconnaître que Madame n’a pas vraiment le choix.
Au-delà du tapis s’enfuient les lattes vernies du parquet.
- Je suppose qu’il est inutile de rappeler à Madame les conditions de Monsieur ?
Elle fait signe que non. Non, c’est parfaitement inutile.
- Bien…
Lui, il est déjà là sans doute, à côté, derrière la porte à moulures lambrissées grise.
- Monsieur m’a demandé de bien vouloir mettre, de mes propres mains, Madame dans la tenue où il souhaite la recevoir…
Hein ! La faire déshabiller ! Par son valet ! Quel immonde petit personnage !
Il se penche, crâne dégarni, épaules écrasées. Il saisit le bas de la robe, relève. Elle rabat. En toute hâte. Ah, non ! Non ! Il n’en est pas question. Une fois. Deux fois.
- Que Madame, dans son intérêt, se montre donc raisonnable !
Elle soupire. Il a raison. Évidemment qu’il a raison. Deux tableaux se font face, dans leurs cadres dorés, représentant l’un - elle lève les bras - un paysage de neige à l’infini et l’autre - il remet les manches à l’endroit, étale soigneusement sa robe sur le fauteuil, lisse un pli du plat de la main - un bâtiment de ferme avec quelques minuscules silhouettes dans les champs en arrière-plan. Il dégrafe le soutien-gorge. Sur la cheminée une horloge dorée enluminée d’angelots qui voltigent en tendant des couronnes de lauriers à bout de bras. Il pose les mains des deux côtés sur ses hanches. Il glisse ses pouces sous l’élastique de la culotte. D’un brusque bond en arrière elle lui échappe.
- Que Madame cesse donc de faire l’e n f a n t ! Qu’elle pense à…
Elle sait, oui ! Aucune humiliation ne lui aura décidément été épargnée. Il vient vers elle. Elle le regarde approcher. À nouveau ses pouces sous l’élastique. Il la descend, sa culotte. Et elle le laisse faire. Dans la bibliothèque, juste en face, les livres à tranche vert empire sont soigneusement alignés. La culotte tombe sur ses chevilles. Elle lève une jambe. L’autre. Il la ramasse. Il la dépose soigneusement sur le fauteuil avec le reste de ses vêtements. Elle est nue.
- Venez !
Le couloir est sombre et étroit. Interminablement long. La lumière est brutale soudain, aveuglante.
- C’est cette dame que Monsieur attend.
- Fais entrer, Bastien, fais entrer !
Il s’efface, s’incline, referme la porte.
Il n’a pas levé les yeux. Il écrit. Il ne lève pas les yeux. Il est jeune. Si jeune. Elle tousse. Une immense baie vitrée, le parement d’un balcon, des toits, des murs, un bout d’avenue. Elle tousse encore. La pièce est immense et claire. Il lève enfin la tête. D’instinct, elle ramène ses bras devant ses seins, se couvre de ses mains en bas. Il sourit.
- Allons ! Allons ! Ne vous compliquez pas les choses…
Et elle ramène ses bras, ballants, le long de son corps. Il la regarde. De haut en bas. De bas en haut. Il la regarde encore et encore. Il prend tout son temps. Il sourit.
- Je ne m’étais pas trompé. Vous êtes ravissante.
La regarde encore.
- Bien. J’ai fait le nécessaire. Tout sera rentré dans l’ordre en temps voulu.
Il recule sa chaise.
- À condition, bien entendu, que vous respectiez scrupuleusement les termes de notre contrat.
Il contourne le bureau.
- D’autant plus scrupuleusement qu’il s’agit d’une somme considérable. J’espère que vous avez conscience de l’effort que cela représente pour moi.
Sa main sous son coude. Fermement.
- Venez vous asseoir ! Là… Asseyez-vous ! Vous aimez le thé ?
Elle aime, oui.
Il sonne. Silencieuse, une jeune servante vient déposer un plateau entre eux sur la table basse. Sans un mot. Sans un regard.
Il croise les jambes.
- Vous avez vraiment beaucoup de chance que ce soit Lambert qui ait découvert le pot aux roses. Un autre que lui. Lait ou citron ? Lambert est un comptable hors pair qui trouve toujours une solution, quelle que soit la situation. La preuve !
Penchée presque à l’horizontale, une main ramenée sur la poitrine pour empêcher la robe de bailler, la servante verse le thé.
- Sans lui - sans moi - vous seriez dans de sacrés beaux draps. Enquête. Scandale. Vous ne vous en releviez pas. Et votre mari…
Lui tend sa tasse.
- Merci.
Et puis à lui.
- Merci, Jeanne.
Elle se redresse. S’éloigne à pas feutrés. Ils boivent. À petites gorgées.
- Non, mais franchement qu’est-ce qui a bien pu vous passer par la tête ? Vous êtes financièrement à l’aise. Votre mari occupe une situation en vue. Vous êtes une femme respectable. Insoupçonnable. On vous confie en toute sérénité la trésorerie d’une importante association charitable. Et vous vous servez allègrement dans la caisse. Ce n’est pas par nécessité. Alors ? C’est quoi ? Le plaisir de jouer avec le feu ? De tenter le diable ? De rouler tout le monde dans la farine ? D’être finalement une autre que celle que tout le monde croit que vous êtes ?
Par la fenêtre un avion - point brillant dans le ciel - dessine une longue ligne blanche. Il n’insiste pas. Il se lève, se dirige vers les étagères de bois doré contre la cloison. Il lui tourne le dos. La musique s’élance, gonfle, emplit la pièce.
- Liszt…
- Liszt, oui !
- Il était au programme du conservatoire l’année où…
- Où ?
- Non… Rien…
Il se lève.
- Venez !
Une autre pièce. Aussi claire et spacieuse que la précédente. Il soulève le couvercle du piano, avance le tabouret, l’invite à prendre place. Elle hésite.
- Il y a si longtemps. Je ne sais plus. Je ne saurai plus.
Debout devant le piano, elle enfonce une touche. Une autre. D’autres. Une à une. En pluie. Ses mains à lui se font pressantes sur ses épaules. Insistantes. La forcent à s’asseoir. Il ouvre la partition devant elle. Et dans ses doigts ce sont exactement les mêmes fourmillements qu’avant. La même envie. Le même désir. Une première tentative presque aussitôt abandonnée. Une seconde. Et tout revient d’un coup. Léger. Fluide. Évident. Le même plaisir. Le même bonheur. Elle joue. Jusqu’au bout. Elle se lève. Ils se sourient. Il la raccompagne jusqu’à l’entrée du couloir, lui baise la main.
- À demain…
À côté, le valet est là qui l’attend pour la rhabiller.
Deuxième jour.
- Il semble que Madame fasse déjà beaucoup moins de difficultés.
Sur le ton de la simple constatation. Il la déshabille. Méthodiquement. Consciencieusement. Cela fait partie de ses attributions. Il ne laisse rien paraître de ce qu’il peut éprouver. Il ne s’autorise sans doute pas à éprouver quoi que ce soit…
- En tout cas Monsieur a trouvé Madame très à son goût. Il était absolument ravi.
Il dépose la culotte bien à plat sur le tas des vêtements.
- Mais, si je peux me permettre de donner un conseil à Madame…
Il la fait passer dans le couloir devant lui…
- Monsieur est maître du jeu. Il peut faire venir Madame, pour la contempler dans toute sa vérité, aussi longtemps qu’il lui plaira. Et il la fera venir aussi longtemps qu’il estimera qu’il n’en a pas eu pour son argent. Alors, si Madame ne veut pas que cette situation s’éternise, Madame devrait se résoudre à montrer davantage à Monsieur. Le plus possible. Et mieux.
Il s’arrête. Baisse la voix. Chuchote.
- Que Madame se rase la chatte ! Monsieur appréciera. Beaucoup. Énormément.
Et il frappe.
- C’est cette dame que Monsieur attend.
Jeanne leur sert le thé. Avec les mêmes gestes immuables. Jeanne lui tend sa tasse en la fixant d’un regard qui ne la voit pas. Jeanne s’éloigne.
- Vous ne m’avez toujours pas dit…
Elle lève sur lui un regard interrogateur.
- Oui, vous ne m’avez toujours pas dit ce qui vous avait poussée à détourner des sommes aussi considérables…
- Oh, vous avez vu juste. L’ennui. Parce que ma vie… On me jalouse. Soi-disant que j’ai tout pour être heureuse. Si on savait ! Et je n’ai même pas la ressource d’incriminer qui que ce soit : tout est ma faute. Quand on renonce à ses rêves…
- Le piano ?
- Le piano, oui !
- Il n’est peut-être pas trop tard…
Elle hausse les épaules.
- J’aurai cinquante ans le mois prochain. Alors…
Il insiste.
- Mais cet argent alors ? Vous en avez fait quoi ? Vous n’en aviez pas besoin…
- Disons que j’ai aidé quelqu’un. Que j’aide quelqu’un. Qui, lui, les vit ses rêves. Qui n’existe que pour eux. Qu’à travers eux. Qui les réalisera ses rêves. Grâce à moi. Quoi qu’il doive m’en coûter.
- Et c’est qui, ce quelqu’un ?
- Vous ne connaissez pas.
- Un jeune ?
Elle baisse la tête. Elle ne répond pas.
- Oui. Évidemment, un jeune. Un très jeune. Qui a l’âge d’être votre fils.
Il marque un court temps d’arrêt.
- Et c’est quoi ces rêves que vous tenez tant à le voir réaliser ?
- Ce sont les siens et je n’ai pas le droit de…
- Vous êtes sûre qu’ils tiennent la route au moins ?
- Oh, oui ! Oui.
- Et qu’ils nécessitent des sommes aussi importantes ?
- Je crois, oui !
- Vous croyez ! Et s’il vous menait en bateau ? Si cet argent il l’utilisait pour tout à fait autre chose ? Pour faire la fête avec ses copains par exemple ?
Elle le regarde droit dans les yeux.
- Je suis prête à en prendre le risque.
Il sourit.
- Alors c’est qu’il baise bien.
Elle devient écarlate.
Il se lève.
- Venez !
Dans la pièce d’à côté. La pièce au piano. Elle s’assied et elle joue. Plus rien d’autre ne compte. Plus rien d’autre n’a d’importance. Elle joue. Il tourne les pages au fur et à mesure. Elle joue. Elle joue encore. Elle est heureuse…
Troisième jour.
Bastien finit de la déshabiller. Avec toujours les mêmes gestes. Onctueux. Précis.
- Je vois que Madame a suivi mon conseil. Qu’elle s’est épilée. Madame a bien fait. Monsieur sera ravi.
Son regard s’attarde sur elle.
- Et, si je puis me permettre, quand on dispose des atouts que Madame possède, là, en bas, ce serait un crime que de ne pas les mettre résolument en valeur.
Elle se trouble. Elle rougit.
- Si Madame veut se donner la peine…
Le couloir. Lui, il est assis derrière son bureau. Il voit. Il regarde. Il sourit. Il regarde encore. Il sourit encore. Mais il ne dit rien.
Il finit par se lever. Il l’emmène dans la grande pièce claire. Comme d’habitude. Jeanne va apporter le thé. Et puis il y aura le piano. Ça a quelque chose de paisible. De rassurant. Très. Ils s’assoient.
- Alors comme ça vous dites que c’est une bête de sexe, ce jeune homme…
Elle accuse le coup. S’agite sur son siège. Bafouille.
- Je… Mais non… Ce n’est pas…
Il rit.
- Ben, voyons !
- Mais non ! Je vous assure…
Il rit encore. Et hoche la tête.
- Allons ! Allons ! Cessez donc de vous mentir à vous-même ! De vous raconter des histoires. Non, la vérité, c’est que vous avez de gros besoins. De très gros besoins. Que votre mari n’est pas ‒ ou n’est plus – en état de satisfaire. Alors un petit jeune tout plein d’entrain, tout plein de sève, c’est pain bénit pour vous. Il vous fait grimper aux rideaux. Seulement le sexe pour le sexe, c’est à cent mille lieues de l’image que vous voulez vous donner de vous-même. Et vous habillez ça avec tout un tas de bons sentiments. Vous voulez être partie prenante dans ses rêves. Les faire être réalité. Balivernes ! Ils n’existent pas, ses rêves. Ou ils ne sont pas ceux qu’il vous fait miroiter qu’ils sont. L’heureux homme ! Il vous baise et il vous soutire de l’argent. Il gagne sur tous les tableaux.
Elle ne répond pas. Elle baisse la tête. Il y a quelque chose en elle qui sait que c’est peut-être vrai. Que c’est sans doute vrai. Mais qui ne veut pas le savoir.
Il enfonce le clou.
- Tant que vous ne vous serez pas acceptée telle que vous êtes…
Jeanne apporte le thé. Le sert. Disparaît.
- Elle doit s’en poser, elle, des questions ! Vous trouver là, entièrement nue, tous les jours, à boire le thé…
Et le piano. Le piano, oasis lumineuse vers lequel elle vole. Le piano. Il place la partition qu’il a choisie devant elle. Chopin. Chopin qu’elle fait s’élancer en volutes éperdues. Chopin qui emplit la pièce. Qui l’inonde. Chopin. Il se penche à son oreille.
- Imaginez ! C’est une soirée de gala. Des centaines de personnes. En habits de soirée. Et vous, vous êtes sur scène. Seule. Au piano. Et nue. Complètement nue.
Il lui en naît des images. Qu’elle repousse. Qui reviennent. Qui s’installent. Ils sont derrière elle. Silencieux. Attentifs. Leur respiration sur ses épaules. Leurs regards sur elle. Sur son dos. Sur le haut de ses fesses. Elle joue pour eux. Elle les emporte. Elle les subjugue. Ils sont à elle. Elle est à eux. Elle s’arrête. Le silence. Profond. Compact. Que vient rompre une salve d’applaudissements enthousiastes. Elle se lève. Elle leur fait face. Elle salue. Elle salue encore.
Sur le velours du tabouret une tache s’étale au large. Il la voit. Il la fixe. Il ne dit rien. Elle a honte ! Comme elle a honte !
Quatrième jour.
Bastien met plus de temps que d’habitude encore à la déshabiller. Beaucoup plus de temps que d’habitude.
- Monsieur a décidé que ce serait aujourd’hui le dernier jour.
Elle lève sur lui un regard surpris.
- À condition que Madame accepte toutefois de se soumettre à une dernière épreuve.
Une épreuve ? Quelle épreuve ? Elle ne lui demandera pas laquelle. Elle ne s’abaissera pas à le lui demander.
Il est debout devant son bureau.
- Bastien vous a dit ?
Bastien lui a dit, oui.
Il l’entraîne jusqu’au piano. Tout de suite. Aussitôt. Il l’y installe. Il dépose la partition devant elle. Debussy. L’après-midi d’un faune. Et elle joue. Avec bonheur. Avec passion. Elle joue. Des images lui viennent. Les mêmes que la veille. D’autres. Elle les repousse. Elle les accueille. Elles l’envahissent. Des mains se posent sur ses épaules. Les siennes. Le tabouret pivote. Elle est face à lui. Il sourit.
Bastien apporte des chaises. Deux. Sur lesquelles il dispose des coussins.
- Que Madame soit confortablement installée…
Deux chaises à bonne distance l’une de l’autre. Il s’approche. Il s’empare délicatement de sa cheville.
- Si Madame permet…
Il lui soulève la jambe. La dépose tout aussi délicatement sur l’une des chaises. La surélève à l’aide des coussins. L’autre jambe. Elle ne résiste pas. Elle s’abandonne, passive. Elle est là, ouverte. Offerte. Obscène. Elle est là, mais elle est ailleurs. Absente d’elle-même. Dans un état second. Lui, il regarde. Il contemple. Il se repaît d’elle.
C’est de très loin que lui parvient la voix de Bastien.
- Si Madame veut bien se donner la peine de s’écarter avec ses doigts…
Elle ne répond pas. Elle ne réagit pas.
- À moins que Madame préfère que je m’en charge ?
Elle ne répond toujours pas.
Alors Bastien est près d’elle. Il s’agenouille. Il se penche. Il y a ses mains. Il y a ses doigts. Qui l’ouvrent. Qui la retroussent. Qui l’offrent en pâture. Et il y a Jeanne. Qui lui tend une tasse de thé. Qu’elle accepte. Qu’elle boit lentement. À petites gorgées. Et lui. Toujours lui. Qui la fixe en bas. Qui ne cesse pas de la fixer. Qui finit par chercher ses yeux.
- Ce sera tout. On va considérer que vous avez définitivement épongé votre dette.
Et il s’éloigne. Bastien retire ses doigts. Se relève. L’aide à se redresser. L’emmène. La rhabille.
- À titre personnel, je dois dire à Madame que je vais infiniment la regretter.
Il lui ouvre la porte. Il s’incline.
Cinquième jour
Elle approche la main de la sonnette, hésite, renonce, s’éloigne. Elle revient, se décide d’un coup. Les pas sur le tapis se font attendre. Surgissent enfin, familiers, rassurants… Il ne manifeste pas la moindre surprise.
- Madame désire ?
Elle ne répond pas. Il reste impassible.
- Madame aurait donc pris goût à la chose ?
Il la fait entrer.
- Je vais voir si Monsieur peut recevoir Madame.
Elle fixe les volutes du tapis. Il se passe un temps qui lui paraît interminable. Il revient enfin.
- Si Madame veut bien se tourner…
Et, d’un geste précis et sûr, il descend la fermeture éclair de sa robe jusqu’en bas du dos.
Hummmmm très beau récit, un plaisir à lire,une suite ? | |
Je suis partagé. D'un côté, j'ai très envie de l'ecrire, cette suite et, de l'autre, j'ai aussi très envie de laisser le lecteur l'imaginer. Alors... |
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